Thursday, March 31, 2016

Télécharger Ebook Ricardo reviens ! ils sont restés keynesiens, by Jean-Marc Daniel

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Ricardo reviens ! ils sont restés keynesiens, by Jean-Marc Daniel

Détails sur le produit

Broché: 195 pages

Editeur : BOURIN EDITEUR (1 avril 2012)

Collection : ECONOMIE

Langue : Français

ISBN-10: 2849413089

ISBN-13: 978-2849413081

Dimensions du produit:

21 x 1,7 x 13,6 cm

Moyenne des commentaires client :

4.4 étoiles sur 5

7 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

256.732 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Jean Marc Daniel aime bien l'histoire et cela se voit dans son livre où il décrit différents mouvements de pensée de la science économique à travers l'histoire. Même si ce n'est pas là où il veut en venir, on comprend que la science économique est loin d'être une science exacte et qu'elle se plante tout le temps.En gros, à une époque on a tenté d'expliquer l'économie d'une certaine manière et de faire des calculs pour mieux gérer l'économie. Puis soit une crise profonde, soit les meilleures performances des autres pays vient remettre en cause cette pensée économique et on en élabore une autre.Au final, puisque toutes les pensées économiques ont échouées, il en propose une autre : miser à fond sur une politique de l'offre. A part avec quelques modélisations mathématiques dont l'intérêt est toujours douteux tant l'économie ne peux être simplifiée au point d'être mise en équation, Jean Marc Daniel s'appui surtout sur des affirmations péremptoires.On a tout essayé... essayons donc une politique de l'offre. Lorsqu'elle échouera, on pourra toujours faire appel à d'autres économistes pour essayer d'inventer d'autres équations pour modéliser l'économie.Un livre intéressant donc pour ceux qui s'intéressent à l'histoire, même s'il est très agaçant de voir qu'est appelé politique keynésienne socialiste une politique de grands travaux pour stimuler la demande en donnant du travail aux gens, et une politique keynésienne à l'américaine, une politique de baisse d'impôt pour redonner du pouvoir d'achat surtout aux riches et augmenter la demande. Ces 2 politiques n'ont rien à voir car d'un côté ça favorise surtout le peuple, de l'autre ce sont surtout les riches et aisés qui sont favorisés.Par contre l'explication sur le fonctionnement des banques centrales est très intéressant...

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un aussi bon et passionnant livre d'économie.Une véritable réflexion de fond, nous dit l'auteur, loin des propres jugements et solutions que prétendent proposer certains avec volubilité mais sans réelle compétence ou référence au savoir économique hérité de nos grands penseurs.Nombreux sont, en effet, ceux que l'on va jusqu'à présenter comme des gourous de l'économie et qui se complaisent dans le catastrophisme ou les pseudo-prophéties en tous genres. L'intérêt semble, pour eux, résider essentiellement dans leur recherche de notoriété. Or, selon Jean-Marc Daniel, il s'agit d'une attitude sans risque. Au pire, si une forte croissance vient invalider leurs annonces de crise et de récession, ils seront simplement oubliés mais, en revanche, si une dépression sévère intervient, ils seront alors sur le devant de la scène et pourront faire valoir leur lucidité et les regrets que l'on peut avoir de ne pas les avoir écoutés.Au lieu de ces analyses un peu superficielles et surfaites, on trouve ici, au contraire, une analyse à la fois historique, contemporaine, mais aussi internationale, voire par moments géopolitique, qui nous aide à mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons, les mécanismes économiques en vigueur, les interdépendances et la complexité des liens entre les choses, loin de toute simplification abusive.On comprend mieux ainsi comment l'ouvrier de Shanghai travaille pour le consommateur américain, avec le Parti communiste chinois dans le rôle du contremaître, tandis qu'en Inde, où le PIB par habitant est inférieur d'un tiers à celui de la Chine, un autre choix de société a été fait, avec une croissance certes moins rapide mais de nature différente et engageant la population à plus long terme. Sans compter l'Afrique, l'Amérique latine ou l'Europe, dont les choix sont différents ; ce qui n'empêche pas l'interdépendance entre épargne, investissement, taux de change et taux d'intérêt, entre autres, mais je vous laisse en découvrir les mécanismes à la fois complexes et à même de mieux percevoir les raisons de tel ou tel fonctionnement de nos sociétés.L'analyse de Jean-Marc Daniel est toutefois, par moments, assez iconoclaste.Ainsi, il semble assimiler (p. 81) la politique économique de Ronald Reagan (puis de G.W Bush et B. Obama) à une politique néo-keynésienne et la courbe de Laffer à une politique de relance de la demande par la baisse des impôts.C'est oublier que les impôts portent aussi sur les entreprises. Donc, même si l'analyse est intéressante, il n'en reste pas moins qu'il me semble qu'il s'agit plutôt là d'une politique de l'Offre. D'où le titre, qui me surprenait, puisque je me demandais pourquoi il n'était pas plutôt question de J.B Say que de D. Ricardo. Mais ce n'est pas moi le spécialiste...Et, là aussi, le rôle de l'épargne dans l'économie est bien quelque chose qui est inhérent à la loi des débouchés de J.B Say, il me semble (Jean-Marc Daniel évoque plutôt ici, pages 83-84, un "effet ricardien").Et, concernant G.W Bush ou B. Obama, c'est oublier que les déficits colossaux sont liés, dans un cas, aux dépenses militaires après le 11 septembre 2001 (pour les deux mandats et non seulement pour le premier) et, dans l'autre, à la crise et à un plan de relance gigantesque et authentiquement keynésien, lui.La démonstration est cependant brillante et l'auteur rend particulièrement hommage au monétarisme de Milton Friedman, insistant sur le rôle majeur de l'inflation (et la remise en cause de la courbe de Phillips) sur les émeutes de la faim, les révolutions et les renversements de pouvoirs (intéressant à la fois sur le plan historique et géopolitique, comme je l'indiquais plus haut, en référence à des révolutions très récentes).De fait, c'est à une relecture de la politique économique que nous invite l'auteur...A la fois leçon de géopolitique, donc, mais aussi d'histoire économique, Jean-Marc Daniel nous explique remarquablement les ressorts de l'économie et la rénovation de celle-ci dans l'approche des politiques monétaire et budgétaire.S'il reste vrai que "l'inflation d'aujourd'hui est le chômage de demain", on comprend ainsi mieux le rôle réel de la politique monétaire, qui est de faire en sorte que le financement bancaire soit efficace et conduise à des investissements productifs.Dès lors, la nouvelle macroéconomie classique vise à ce que la Banque centrale ait plus une action dissuasive que punitive (comme dans les années Volcker, qui nous ont débarrassé de l'inflation au prix d'une forte élévation du chômage et d'une croissance lente). Plutôt que de lutter contre l'inflation, une politique monétaire efficace doit ainsi, selon l'auteur, susciter des anticipations telles que l'inflation n'apparaisse pas.La nouvelle articulation avec la politique budgétaire aboutit alors à ce qu'au lieu de servir à lutter contre le chômage, cette dernière ait pour but d'amortir le cycle, contribuant ainsi à lutter contre l'inflation en réduisant la dette et en limitant le déficit extérieur.La politique monétaire, elle, a désormais pour but de générer de la croissance potentielle à long terme en améliorant non la quantité mais la qualité de l'offre (règle de Taylor).En résumé, contrairement à la vision keynésienne de "pompier de la politique économique", selon Jean-Marc Daniel la Banque centrale n'est pas là pour calmer la surchauffe mais pour superviser le financement de la croissance, c'est-à -dire la construction de l'édifice économique. Et la politique budgétaire n'est pas là pour inonder de dépenses publiques une économie en panne de demande, mais pour consolider l'édifice économique et éviter qu'un enchaînement récessif ne l'emporte.La politique économique, en changeant de champ d'action, devient alors plus compliquée. Il convient désormais de distinguer un déficit public conjoncturel et un déficit structurel des finances publiques, dont la détérioration de long terme est évidente et qu'il faut combattre, pour faire en sorte qu'il soit nul (d'où la définition de règles telles que la fameuse "règle d'or").L'Etat devient ainsi un acteur de la croissance à long terme, mais pas par ses dépenses, pas plus que par ses propos incantatoires sur l'innovation, mais bel et bien par la pression permanente sur le système productif dont il assure la réalité concrète en promouvant la concurrence.Pour illustrer ses propos, Jean-Marc Daniel se réfère à l'analogie faite par l'économiste français de l'entre-deux-guerres Albert Aftalion entre la situation économique d'un pays et celle du chauffage dans une pièce (voir complément de commentaire).Il montre ensuite en quoi le protectionnisme est dangereux.Des rappels très instructifs, à l'heure où beaucoup de politiques français s'en réclament. En particulier (p.131), lorsqu'il nous permet de nous remémorer la différence essentielle entre le protectionnisme "éducateur" (basé sur les secteurs d'avenir) de Friedrich List au 19ème siècle (voir Histoire vivante de la pensée économique : Des crises et des hommes) et celui de nos contemporains, protectionnisme "défenseur des pays riches", souvent destiné à assurer la survie de secteurs en déclin.Rappel essentiel encore, lorsqu'il nous explique en quoi recourir au protectionnisme consiste à abaisser le pouvoir d'achat de la population, dans la mesure où ceux qui paient les droits de douane ne sont pas les concurrents étrangers de nos entreprises mais les consommateurs européens.Il en va de même des dévaluations (dont la sortie de l'euro pour les grecs évoquée par certains) ou encore de la TVA sociale, tous instruments keynésiens traditionnels contre lesquels Jean-Marc Daniel nous met en garde.Pour finir, dans un dernier chapitre Jean-Marc Daniel nous donne son analyse de la crise économique actuelle en France et les solutions qu'il propose pour y remédier.Les critiques des politiques menées par les différents gouvernements sont sans concession (y compris celle des gouvernements Sarkozy (ou avant lui Chirac), contrairement à ce que pourrait laisser penser le titre de l'un des autres commentaires sur cet ouvrage). Une vraie réflexion de fond, pas du tout soumise aux impératifs politiques, mais qui s'inscrit bien plutôt dans la durée.A lire, pour ceux qui sont passionnés par l'économie ou veulent plus simplement chercher à en comprendre les fondements. Il est probablement souhaitable, toutefois, d'avoir déjà quelques notions en la matière, vu la complexité de la discipline, ou alors de s'armer de patience, en essayant de lire et relire lentement pour méditer tel ou tel point...

Je lis les livres d'économie par dizaines, peu fréquemment français.Celui-ci est remarquable.Un livre lumineux d'accessibilité didactique, d'une très gande limpidité de style qu'égale la clarté conceptuelle.Je ne connais pas Jean-Marc Daniel et il est très difficile d'établir sa couleur politique à partir de la lecture de son texte: c'est exceptionnellement rare et absolument admirable. Le mot de sagesse vient à l'esprit ! Bravo ! Je l'écris alos même que je reste en désaccord avec bien de points, mais c'est sans importance (ou rancune !) car l'articulation des idées de l'auteur est toujours d'une grande qualité.La bassesse obscurantiste et archaïque du débat économique en France trouverait dans ce livre un antidote puissant mais ne rêvons pas...Merci M. Daniel

Jean Marc Daniel est toujours aussi précis et rigoureux. Ce livre est un « essai », et ne se lit pas comme un roman, il faut une bonne culture économique pour en saisir toute la substance. Une toute petite critique, de mon point de vue, est qu'il passe parfois un peu vite sur des affirmations qui, pour lui, sont probablement des évidences, mais pour qui un court développement ne serait pas superflu, aux yeux de quelqu'un qui n'est pas un professionnel de l'économie. Mais cette petite critique pèse bien peu lourd en regard de l'immense intérêt de cette réflexion, en particulier pour la France, et les politiques économiques qui devront y être conduites dans les années et décennies à venir. On ne peut qu'être saisi, en comparaison, par la vacuité des débats électoraux en cours.

Dommage que nos élus et politiciens de tout bord ne prennent pas le temps d’appendre et de comprendre auprès d'un tel professeur. Il est vrai qu'il leur faudrait avoir le courage d'appliquer la potion et de cesser de distribuer des prébendes à crédit.

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Sunday, March 13, 2016

Ebook Gratuit Doit-on le dire ?: (1924-1936), by Jacques Bainville

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Quand on parle des avantages finis de cette publication, vous pouvez prendre l'évaluation de cette publication. Plusieurs témoignages révèlent que les lecteurs sont tellement satisfaits et aussi impressionné dans Doit-on Le Dire ?: (1924-1936), By Jacques Bainville Ils quitteront les excellentes voix pour élire que ce soit une très bonne publication d'un examen. Lorsque vous êtes très intéressé de ce qu'ils ont effectivement lu, votre tour est que par la lecture. Oui, la lecture de cette publication ne sera pas tous les problèmes. Vous pouvez obtenir cette publication rapidement et revue dans votre seul loisir.

Doit-on le dire ?: (1924-1936), by Jacques Bainville

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Avez-vous découvert un nouveau livre pour répondre à vos vacances pour revoir? Préparez-vous pour la navigation il? Lorsque quelqu'un a seulement des plans pour passer des vacances et des vacances pour aller pour certaines personnes, il y a d'autres qui cherchent de plus pour les livres d'utiliser le temps libre. Il n'est pas le type de moyens difficiles à vaincre ce problème. De nos jours, l'innovation innovante est inquiète pour vous aider à faire quoi que ce soit.

Lorsque vous restez dans ce type d'environnement, exactement ce que vous devez choisir est vraiment Doit-on Le Dire ?: (1924-1936), By Jacques Bainville C'est une sorte de livre suggéré de fichiers souple pour votre analyse quotidienne. Il sera lié à la nécessité de vos obligations et les leçons. Pourtant, les moyens de le décrire pour vous ou les mots choisis deviennent tout ce que vous aimez. merveilleux livre n'indique en permanence que les mots seront certainement si donc difficile complexe à comprendre.

Vous pouvez trouver exactement comment le livre peut être obtenu en fonction de la situation de vos idées aussi et se sent. Lorsque l'ajout de la suggestion du livre est assez raisonnable, il se transforme en un moyen d'attirer les téléspectateurs à acheter. Pour répondre à ce problème, nous servons ici et maintenant fichier souple qui peut être acquis facilement. Vous pouvez vous sentir vraiment pas si difficile en recherchant en magasin guide autour de votre ville.

Écartez-vous dans votre maison ou au travail, vous pouvez le prendre facilement. Tout simplement en se connectant au net ainsi que d'obtenir la connexion à télécharger, vous attend pour obtenir ce livre est bien comprise. C'est exactement ce que vous fait vous sentir satisfait de conquérir le lire Doit-on Le Dire ?: (1924-1936), By Jacques Bainville. Ce livre est facile à lire avec des langues très facile pour l'analyse par tous. Donc, vous ne pourriez pas besoin de se sentir vraiment déprimé pour trouver le livre aussi grand pour vous. Choisissez simplement votre temps pour obtenir le livre et recherchez le renvoi pour d'autres livres ici.

Doit-on le dire ?: (1924-1936), by Jacques Bainville

Détails sur le produit

Broché: 368 pages

Editeur : Les Belles Lettres (8 avril 2015)

Collection : Le Goût des idées

Langue : Français

ISBN-10: 2251200509

ISBN-13: 978-2251200507

Dimensions du produit:

12,7 x 2,5 x 19 cm

Moyenne des commentaires client :

5.0 étoiles sur 5

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Classement des meilleures ventes d'Amazon:

281.274 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Bainville brille par la qualité de son style littéraire, limpide, concis, structuré.Ce style soutient une pensée identique : les idées s'agencent de belle façon, exposant le sujet traité avec intelligence, le rendant clair au lecteur, même néophyte.Bainville est en outre, par ses connaissances historiques, sa compréhension de l'histoire structurelle, sachant replacer l'événement dans son Histoire, prophétique. "Les conséquences politiques de la Paix" est une oeuvre majeure qui annonce, dès 1918, fort de sa connaissance de l'Allemagne et de son Histoire, exploitant les failles du traité de Versailles, l'avènement du nazisme :"Devant quoi la France, au sortir de la grande joie de sa victoire, risque-t-elle de se réveiller ? Devant une République allemande, une république sociale-nationale supérieurement organisée et qui, de toute façon, sera deux fois plus peuplée que notre pays. Cette république (si l'Allemagne reste une république, ce qui n'est pas encore assuré (...) sera productrice et expansionniste, (...) Cette république des Allemands-Unis, qui aura achevé l'unité allemande, continuera l'empire."Les 250 éditoriaux de la revue "Candide" fondée par Arthème Fayard, écrits par Bainville entre 1924 et 1936 sont passionnants pour le lecteur du 21ème siècle. La politique étrangère est passée régulièrement en revue en fonction de l'événement. La forfaiture de Aristide Briand est dénoncée; son pacifisme militant a servi les intérêts de l'Allemagne, par l'abandon progressif de sa dette de guerre due à la France, par le retrait de Mayence, par sa neutralité sur toute offensive politique et ... par le camouflet que ce sinistre homme politique, qui fut l'un des acteurs de la venue de la seconde guerre mondiale (son pacifisme entraîna celui de nombreux activistes de la cause qui, d'ailleurs, plus tard, seront militants de la collaboration avec les nazis - cf. Simon Epstein) reçut, post-mortem, de son "ami" Stresemann, qui l'avait sciemment berné.1929 à propos du courrier adressé par le chancelier allemand Stresemann au kromprinz, rendu public en 1929 -"Sa lettre de 1925 au kronprinz, qui a été publiée à la fin de la semaine dernière, est d'un cynisme accompli. On nous attendrissait sur ce généreux Européen qui exposait sa vie et qui usait sa santé pour la cause de la démocratie et de la paix. Pendant ce temps, il expliquait à son prince que Locarno était le meilleur des trucs pour en finir avec les réparations, l'occupation et les traités.Stresemann et Briand sont morts. D'outre-tombe, Stresemann a l'air de dire: "Vous voyez comme je l'ai eu, comme je l'ai roulé ! Et l'on nous a fait une réputation de lourdauds, de butors, d'éternels gaffeurs dépourvus de psychologie ! Quand nous voulons, nous sommes les plus fins "Le mot 'finasser' se trouve même dans le rapport justificatif au kronprinz, qui avait besoin qu'on lui mit ce point sur cet i " (p.280)La venue de Hitler, sa prise de pouvoir sont dénoncées comme autant d'alertes à notre sécurité, au réveil de notre politique étrangère qui resteront lettres mortes pour le malheur que nous connaissons.Les éloges de Clemenceau, Foch, Joffre, Lyautey sont toujours tempérés par le bon sens, la culture historique de Bainville. Sans oublier, encore une fois, cette capacité prophétique, sur l'éviction brutale de Weygand, qui, faut-il le rappeler, fut l'adjoint de Foch pendant toute la première guerre mondiale, remplacé par Gamelin en 1935, concluant ainsi son éditorial :"On ne change pas de chemise dans un courant d'air ni de général en chef quand Hitler vient de remporter dans la Sarre un triomphe excitant. Et c'est ce que nous nous sommes dit en apprenant que Weygand avait reçu son congé définitif sans même garder une voix au Conseil supérieur de la guerre, ce qui est un excès d'ingratitude, de muflerie et, en outre, de mépris des "compétences", comme si nous en possédions trop." (p.339)"Doit-on le dire ?" est une réédition de l'ouvrage publié en 1939.

L'ouvrage devrait être mis dans toutes les mains des journalistes, des étudiants, des adultes. Les maux du passé sont les maux du présent. Les vagues viennent, partent et reviennent sur les rives. L'Etat, la nation, les plaisirs, la politique, le peuple, le paysan, le soldat, les régimes... tout y est. Tout y est avec cette peinture à la Bainville, un homme de plume, qui a l'esprit sur les épaules. La virilité contre la niaiserie moderne...

Il faut lire ce livre car il montre que la France est éternelle, enfin nos politiques sont d'un conservatisme abêtissant. C'est unvrai régal de lecture car c'est remarquablement écrit.

Ah! Bainville! Doit-on encore le présenter? Un journaliste comme on n'en fait plus! Ses chroniques sont délicieuses! Une vraie plume et un vrai génie. A lire! D'autant que l'édition est top!

Doit-on présenter Jacques Bainville ? Journaliste, historien, Bainville fut l’un des plus grands intellectuels du début du siècle dernier. Entré en journalisme grâce à Maurras, il est aussi connu pour ses travaux d’historien, qui font toujours référence. Son Histoire de France fait encore autorité. Les Belles Lettres rééditent Doit-on le dire, un recueil d’articles publiés entre 1924 et 1936 dans le journal Candide, hebdomadaire politique au ton parfois léger.Le moins qu’on puisse dire de cet ouvrage posthume, c’est que Bainville y traite de nombreux sujets. Dans ses chroniques écrites entre 1924 et 1936 – l’année de sa mort –, il passe de l’un à l’autre sans difficultés, non sans une légère ironie. Du théâtre aux crises ministérielles, en passant par le pacifisme, l’Allemagne ou la finance, peu de domaines ont échappé à sa plume acérée.La plupart des réflexions présentées sont toujours d’actualité : « Le malade qui ne se trouve pas bien sur le côté gauche se met sur le côté droite. Comme ça ne va pas mieux, il se remet sur le côté gauche. C’est ce qu’on appelle se retourner sur son lit de mort. La France ne fait pas autre chose depuis quelques années. » Voici le jeu de l’alternance politique résumé en trois lignes.Car si les politiques, les économistes et les artistes changent, leurs travers restent les mêmes. « Une crise ministérielle », article de 1924, écrit sous la forme d’une scénette de théâtre pourrait bien être rejouée aujourd’hui. Les erreurs commises par les gouvernements ne changent point. « La faute la plus lourde qu’un gouvernement puisse commettre, c’est de s’aliéner les deux forces : la jeunesse et l’intelligence. » Gageons que MM. Hollande, Valls et consorts n’ont pas lu Bainville (contrairement à Mitterrand et Chevènement…). Surtout lorsqu’ils s’enferrent dans leurs errances. « C’est le moment où tout ce qu’essayent de dire les dirigeants qui ont perdu la tête devient gaffe, où ils n’ouvrent plus la bouche sans qu’une divinité leur souffle le mot qui les perd. »Visionnaire et lucide, Bainville décrit un pays, la France, et montre que, finalement, les défauts qui lui font tort aujourd’hui ne sont pas propres à notre époque. Il raille l’angélisme de ses contemporains, et celui des nôtres : « Beaucoup de gens ont besoin, pour croire au mal, que le crime soit commis. C’est très touchant de pleurer les morts. Il vaudrait mieux ne pas laisser faire les assassins. » Il brocarde l’intérêt variable des politiques pour l’armée. « On se comporte dans la paix avec les militaires comme avec les médecins comme on est en bonne santé. Les gens biens portant raillent volontiers la médecine. » Il moque les promesses de ceux qui ne les tiendront pas. « À condition de ne donner ni chiffres ni dates, vous pouvez conjecturer tout ce que vous voudrez. » Notamment la reprise.Si Bainville était mort en 2015, il n’aurait guère eu d’efforts à faire pour mettre à jour ses observations politiques.Théophane Leroux in Liberté politique

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